La crise sanitaire et la guerre en Ukraine ont engendré une flambée des prix, lesquelles ont pu générer des tensions entre l’administration et ses prestataires.
Côté entreprise, il a fallu (et il faut encore) arbitrer entre le montant des surcoûts subis, les sommes déjà décaissées, l’état de la trésorerie de l’entreprise, les échéances à respecter sous peine de pénalités, et la nécessité de conserver de bonnes relations avec le maître d’ouvrage.
Côté administration, il a fallu (et il faut) composer avec les règles de comptabilité publique, celles de la commande publique, la capacité budgétaire, l’interdiction des libéralités et le souhait de conserver de bonnes relations avec ses partenaires.